Ces deux SCPI bénéficient de taux d’occupation financiers supérieures à 93 % et de taux de recouvrement de 94 % en moyenne, en dépit du contexte actuel. Au 31 décembre 2020, Sofidy enregistre 6,7 milliards d’euros d’encours sous gestion, 709 millions d’euros collectés et 427 millions d’euros investis.

Pour l’année en cours, Sofidy considère que « l’immobilier bénéficie toujours d’un environnement de taux longs durablement bas, favorable à l’actualisation de la valeur future des cash-flows. Mais les performances des SCPI restent conditionnées à une très bonne visibilité sur la génération de loyers, garantie par la qualité de l’emplacement d’actifs, qui plus est portée par des tendances structurelles que la crise sanitaire ne saurait remettre en cause. Même si les Cassandre ont, dès le début de la crise, annoncé la mort de l’immobilier de commerces et de bureaux, force est de constater que, dans les grandes métropoles attractives en France et en Europe, le commerce de proximité et les bureaux « prime » sont résilients. Les murs de commerces en cœur de centres-villes dynamiques restent portés par la métropolisation, le vieillissement de la population, la montée de la conscience écologique et le besoin croissant de proximité. Pour les bureaux, la demande reste forte pour des actifs bien desservis, offrant des surfaces adaptées et modulables aux besoins évolutifs des entreprises et de leurs collaborateurs, y compris pour un télétravail qui va, certes, se développer en sortie de crise, mais de manière raisonnée et progressive dans le temps ».

« Ambition, agilité et prudence » sont les mots d’ordre de Sofidy pour 2021, qui compte poursuivre son développement hors de l’Hexagone, en particulier aux Pays-Bas, en Irlande, en Espagne et en Italie, et sur d’autres segments, tout en lançant un plan global « So Durable » afin de développer sa démarche ESG, qui inscrira les critères environnementaux dans les acquisitions.

Les SCPI de Sofidy furent "résilientes" en 2020