Dernière étape de cette démarche : six semaines thématiques de réflexion autour de professionnels, de chercheurs, orchestrées sous forme de tables-rondes.

Le premier rendez-vous se tiendra demain 31 août, au ministère à partir de 9h30 et sera consacré à l’« Impact de la crise sanitaire sur le lieu de vie : exode ou statu quo ? ». Participeront à ce débat : Juliette Auriscote, responsable programme « Petites villes de demain » au sein de l’ANCT ; Emmanuel Heyraude, directeur Cohésion sociale et développement France Urbaine ; François Descoeur, président des maires ruraux du Cantal (AMRF) ; Louise Larcher, conseillère technique ville, urbanisme, habitat, transport de l’Association des Maires de France ; Yannick Borde, président de Procivis ; Yann Dubosc, maire de Bussy-Saint-Georges et président de l’Association des maires d’Ile-de-France ; maître Frédéric Violeau, directeur de l’Institut de l’immobilier du Conseil Supérieur du Notariat à Caen ; Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim ; François Adam, DHUP ; Denis Thuriot, maire de Nevers ; Caroline de Gantes, « country managing director » de Se Loger ; Clémence Binet, responsable des études au CNER (Fédération des agences d’attractivité, de développement et d’innovation) ; Stephany Orain Pelissolo, psychologue-psychothérapeute ; Jean Viard (sociologue) ; Jean-Daniel Levy, directeur du département Politique & Opinion d’Harris Interactive et Henry Buzy Cazaux, président de l’Institut du Management des Services Immobiliers.

Exode urbain ou pas, la ministre Emmanuelle Wargon lance le débat