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iPodcast avec Catherine Vautrin (Anru)

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le 14 Nov 2022

Par décret du Président de la République en date du 31 août 2022 publié au « Journal Officiel » du 1er septembre 2022, Catherine Vautrin a été nommée présidente du conseil d’administration de l’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (Anru). Pour « Immoweek » et au micro d’Erick Cala, Catherine Vautin en dit plus sur ses missions au sein de l’Agence.

Rappelons que l’Anru met en œuvre des projets de renouvellement urbain afin de transformer les conditions de vie de cinq millions d’habitants. A travers le Programme National de Rénovation Urbaine (PNRU), le Programme « Quartiers Anciens » (PNRQAD) et le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU), l’Anru intervient notamment sur les logements, les espaces publics, les équipements scolaires, les crèches, les commerces, l’activité économique. L’Anru est également opérateur au titre du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), avec une enveloppe d’un milliard d’euros, pour la mise en œuvre de projets destinés à la Jeunesse, à la Ville et aux Territoires durables, ainsi qu’au co-investissement et à l’innovation dans les Quartiers Prioritaires de la Politique de la Ville.

Ancienne ministre déléguée à la Cohésion Sociale et à la Parité, présidente de la commission « Aménagement urbain, logement et habitat indigne » de France Urbaine, présidente d’une communauté urbaine portant d’ambitieux projets de rénovation, Catherine Vautrin évoque également sa co-présidence au sein du Grand Reims…

iPodcast « Grand entretien », saison 5 – Episode 11 :

Valérie Garnier

Directrice de la rédaction

Édito
par Anthony Denay

le 16/03/2023

Logements et bureaux : bienvenue dans l’ère de la porosité

Le Cercle Pierres d’Angle s’est réuni ce jeudi 23 mars 2023 afin d’évoquer un sujet loin d’être négligeable : les nouvelles tendances marketing transférables du logement au bureau.

Si un mot, un seul, devait être extrait de ces instructifs échanges entre professionnels, il s’agirait de « porosité ». Pourquoi ? Tout simplement car logements et bureaux possèdent de plus en plus des caractéristiques qui les relient, les connectent, les rendent interdépendants les uns vis-à-vis des autres. Aujourd’hui, le bureau entre dans le logement et le logement entre dans le bureau. Après tout, qu’y a-t-il d’étonnant à cela ? Qui peut encore désormais s’en étonner ? Depuis la crise Covid, le travail, historiquement éloigné du domicile, s’est immiscé dans les foyers, rythmant les quotidiens domestiques, « poussant les murs » pour se faire une place, tantôt dans le salon, tantôt dans la cuisine, tantôt dans l’une des chambres, parfois (pour les plus chanceux) au sein d’une pièce exclusivement réservée à cet effet. A l’inverse, les immeubles de bureaux ont dû abandonner leur rigidité traditionnelle pour devenir des lieux de vie s’apparentant à des logements classiques ; des lieux de vie où l’on peut travailler, bien sûr (cela reste l’objet premier du lieu), mais aussi échanger, se reposer, se restaurer, voire se divertir. Petite anecdote : le nombre de coins cuisines ont explosé au sein des immeubles tertiaires. Des coins cuisine « comme à la maison », pas de grands restaurants d’entreprises surpeuplés ou de corners food…

Bref, le temps des univers silotés, isolés, semble passé de mode. Les nouveaux logements intègrent de plus en plus certaines caractéristiques du bureau, avec des espaces entièrement consacrés au télétravail, tandis que les nouveaux bureaux ont perdu en rigidité pour offrir des caractéristiques et un confort à même de faire se sentir les collaborateurs « comme à la maison ». Dès lors, il apparaît logique que les équipes marketing des grands groupes immobiliers multiplient les ponts entre ces deux univers qui, historiquement, ne semblaient pas destinés à se rapprocher un jour…

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