Un riche patrimoine résidentiel haut-de-gamme

A Bordeaux, le choix est vaste et toujours de grande qualité : appartements de 50 à 250 m2 dans des immeubles rénovés ; lofts spacieux dans d’anciens chais ; maisons de ville anciennes ou modernes, avec jardin, situées proche du centre… Avec une moyenne de 2 900 euros/m2, Bordeaux se situe à la 4ème place des villes de province les plus chères. « Le marché des biens qui s’adressent à la clientèle fortunée des « HNWI » (High Net Worth Individuals) – les personnes qui détiennent une somme d’argent disponible de plus de 1 million de dollars – » est en moyenne à 4 500 euros/m2 soit plus de 3 fois inférieur à celui de Paris (15 000 euros/m2) ! Les prix dans cette ville peuvent atteindre jusqu’à 7 000 euros/m2 pour des petites surfaces rénovées dans l’hyper-centre en étage avec ascenseur et vue dégagée.

Dans les emplacements les plus recherchés, Barnes a déjà vendu ou est en cours de négociation sur différents biens, parmi lesquels :
– dans le Triangle, un appartement 200 m2 avec 3 chambres (rénovation de qualité), pour 1 200 000 euros, soit 6 000 euros/m2 ;
– à Jardin Public, une maison de 240 m2 (5 chambres) avec quelques travaux de rafraîchissement, pour 885 000 euros, soit 3 690 euros/m2 ;
– dans le Triangle, un immeuble de 430 m2 rénové, pour 2 250 000 euros, soit 5 200 euros/m2.

« Depuis 40 ans, les « UHNWI » sont des clients récurrents (11 % de leur patrimoine y est investi) sur les châteaux et vignobles du Bordelais. Le panel des biens haut-de-gamme présenté par Barnes s’étend aussi aux nombreuses maisons de campagne, propriétés de chasse, haras et domaines équestres, ainsi qu’aux forêts et terres agricoles ». L’attractivité de Bordeaux amplifie la demande de la clientèle « HNWI » sur les biens entre 1 et 2 millions d’euros. « Contrairement à Paris, il n’y a pas d’augmentation des stocks de biens de plus de 250 m2, ce qui contribue à soutenir la progression des prix. Barnes estime le potentiel de hausse de prix sur le marché haut-de-gamme bordelais à +5 % par an sur les 10 prochaines années ». Parmi ses ventes réalisées depuis septembre, 80 % sont supérieures à 1 million d’euros et le conseil du résidentiel haut-de-gamme « prévoit de réaliser une trentaine de transactions en 2014 dont plus des deux tiers au-dessus du million d’euros »…

Bordeaux, ville attractive pour le résidentiel haut-de-gamme