Notre « Pierre d’Or Asset Manager & Investisseur » 2020, Grégory Frapet, de Primonial REIM, se livre, de son domicile à Neuilly-sur-Seine, sur sa vie de confiné et, c’est avec une certaine philosophie que le président du directoire pense qu’« il faut accepter ce que l’on ne peut changer, changer ce qui doit l’être et savoir dissocier les premiers sujets des seconds »…
Comment se déroule votre journée ?
La nature ayant vivement horreur du vide, ma journée a été très vite rythmée par un agenda bien rempli. De ce fait, je suis devant mes écrans une grande partie de la journée, en relation avec mes équipes, nos clients, nos locataires et nos partenaires conseils. J’essaye également de garder du temps pour comprendre la situation inédite dans laquelle nous sommes et anticiper le monde de demain pour apporter les ajustements nécessaires et identifier les opportunités éventuelles.
Pour autant, je m’impose des déjeuners familiaux, quelques sorties et une respiration chaque mercredi où je me rends au bureau, rue de Naples, pour encourager les quelques collaborateurs qui travaillent encore sur site.
Où êtes-vous ?
Je suis à mon domicile à Neuilly, une commune proche de Paris avec beaucoup d’espaces verts.
Quelle est la pièce préférée de votre logement ?
Mon salon, mais c’est aussi l’endroit préféré de mes enfants. Résultat, ils m’ont confinés dans ma chambre où je dispose, quand même, d’un bureau et d’une jolie vue.
Que lisez-vous ? Avez-vous un livre à nous recommander ?
Je suis plongé dans un livre de Ruffin « les 7 mariages d’Edgar et Ludmilla » l’histoire d’un couple incroyable sur fonds de capitalisme et de paillettes des années 1980.
Un film ou une série télé que vous allez revoir ? Que vous nous recommandez ?
La série Israélienne « Fauda », qui vous prend aux tripes sans vous lâcher et est loin d’une vision manichéenne. Dans cette fiction, dans les deux camps, on trouve des héros et des « salauds ».
Un album de musique à nous conseiller ?
La play liste Amazone music et, en particulier, « Blinding Lights » que j’écoute en boucle en ce moment.
Comment faites-vous pour garder la forme ?
Malheureusement, je passe mon temps la tête dans le frigo ou à penser au prochain repas ! Mais, j’ai offert, ces derniers jours, un chien à mes enfants. Je m’oblige à le balader avec eux.
Avez-vous un message à faire passer à nos lecteurs et à nos autres confinés ?
Le pire n’est jamais sûr et la peur n’évite pas le danger. Il faut donc accepter ce que l’on ne peut changer, changer ce qui doit l’être et savoir dissocier les premiers sujets des seconds.
Une photo qui symbolise ou illustre, pour vous, le confinement ?

Valérie Garnier
Directrice de la rédaction