Les résultats annuels sont contrastés selon les métropoles, tous les marchés n’ayant pas été impactés de la même manière par la crise sanitaire.

Après deux bonnes années, le marché de Nice- Sophia Antipolis reste sur une bonne dynamique, avec 61 000 m² de bureaux commercialisés en 2020, un chiffre supérieur de 12 % à la moyenne des performances observées au cours des cinq dernières années.

A quelques encablures, le marché d’Aix-Marseille enregistre également une évolution positive de 3 % par rapport à la moyenne. Point commun en ces deux villes azuréennes : le marché des grandes transactions s’est bien maintenu.

Les marchés de l’arc atlantique, Bordeaux et Nantes, accusent des baisses respectives de 16 et 22 %, par rapport à la moyenne.

Les villes de Lyon et Lille, touchées par le manque de grandes signatures, enregistrent, quant à elles, des baisses de 33 et 40 %. Les volumes commercialisés sur ce segment de surfaces ont, en effet, enregistré un repli d’environ 60 %.

Finalement, Toulouse a plus nettement marqué le pas avec une baisse de 58 % par rapport à la moyenne de ces dernières années, entrainée par l’absence de clés-en-main et le manque de grandes transactions dans le secteur.

Le marché de bureaux en régions accuse une baisse de 40 % en 2020, selon JLL