
J’ai la chance (on ajoutera aujourd’hui, plus que jamais, l’honneur) de connaître Marc-Antoine Jamet. Au Cercle Pierres d’Or Immoweek qu’il préside, j’ai donc pu apprécier ses qualités, connues et reconnues par tous, même (surtout ?) par ses adversaires.
Mais, et c’est le sujet qui m’occupe aujourd’hui, j’ai pu constater à quel point l’avenir de Val-de-Reuil, ville dont il est maire depuis 20 ans, lui tient à coeur et ne quitte jamais ses préoccupations.
Combien de professionnels de l’immobilier n’ont-ils pas été sollicités qui pour construire, réhabiliter, restructurer ? Combien pourraient-ils témoigner de l’acharnement – le mot n’est pas trop fort – du magistrat municipal pour défendre et illustrer sa ville ? Et les résultats ont suivi avec une régularité exemplaire : d’une commune surendettée et exsangue à tous égards, Marc-Antoine Jamet et son équipe ont fait un lieu « où il fait bon vivre », selon l’expression consacrée et ici non galvaudée.
Ce n’est pas à nous de lister l’ensemble impressionnant des réalisations effectuées sous ses mandats successifs. Rappelons qu’il a été réélu l’année dernière avec près de 90 % des voix. Un score « soviétique » qui, en démocratie, signifie beaucoup.
Or, ce week-end, des énergumènes ont pris d’assaut la mairie de Val-de-Rueil. Tentant de surfer sur des événements récents, ils veulent souiller la fière devise de la République, si porteuse d’espoir, et s’attaquent, en priorité, à une ville et un élu dont les résultats sont si inspirants. Ne les laissons pas faire, ne sous estimons pas la portée de leurs actes et redisons à Marc-Antoine Jamet notre estime profonde face au courage et à l’honneur d’un élu de la République.

Pascal Bonnefille
Directeur de la publication