Ce parc est développé pour permettre l’intégration d’une grande mixité d’activités et de services et atouts « à haute valeur ajoutée » afin de créer un espace « riche et varié ». La dimension énergétique fait également partie intégrante du projet puisque ce dernier vise une autonomie en énergie et une limitation de son empreinte carbone.

Situé au carrefour des ports de Málaga, d’Algésiras et des couloirs ferroviaires atlantique et méditerranéen, le parc vise une empreinte neutre en carbone et permettra, grâce à l’ensemble des sources d’énergie durables intégrés dans ce dernier, de produire davantage d’énergie qu’il n’en consommera.

Pour ce faire, les bâtiments adopteront des matériaux durables qui s’inscrivent dans un modèle économique circulaire. De plus, l’énergie produite localement est pensée pour être mutualisée par l’ensemble des futurs utilisateurs de la zone grâce à un système complet de géothermie à l’échelle du parc. Le surplus d’énergie produit pourra être partagé, stocké ou redistribué sur le réseau électrique national. Le parc capitalisera sur le vent, l’eau et le soleil pour produire une énergie durable. L’installation d’une centrale à hydrogène est à l’étude.

Les travaux d’aménagement du port sec d’Antequera ont débuté en juin dernier et couvriront, à terme, plus de 300 hectares de terrain. Ces derniers vont permettre une mise à disposition de la première phase du projet qui comportera un terrain constructible de 372 000 m2. Cette tranche s’organisera autour d’un terminal ferroviaire multimodal de 196 000 m2 et de bâtiments.

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