L’activité de Selectirente n’a pas trop pâti des conséquences de la crise sanitaire ; il faut dire que son secteur d’activité, les commerces de proximité en centre-ville, n’a pas été le plus impacté au cours de cette période. Lesdits commerces ont même affiché une capacité de résilience, au moment même où la situation des centres commerciaux s’avérait plus délicate… Les habitants des villes se sont rabattus sur ces petites enseignes conviviales et peu bondées (la peur du virus ayant poussé les consommateurs à déserter les lieux de brassage).

Selectirente ne s’y est pas trompé et a bien investi en 2021, avec 106,7 millions d’euros d’acquisitions en immobilier direct. 109 boutiques de pieds d’immeubles ont été achetées, représentant 84,6 millions d’euros (7 portefeuilles, le reste à l’unité), principalement localisées à Paris (31 %), mais aussi dans de grandes agglomérations comme Lyon, Bordeaux ou Toulouse. Deux actifs de bureaux et un immeuble mixte ont complété les acquisitions.

Les cessions, quant à elles, ont totalisé 17,6 millions d’euros, générant une plus-value distribuable de près de 14 %. Les loyers ont connu une progression de 28 %, à 22,4 millions d’euros (+ 2 % à périmètre constant). Le taux d’occupation financier moyen a atteint 95,1 % en 2021, et le taux de recouvrement des loyers 95 % à date. 54 % des actifs possédés par Selectirente sont situés dans Paris intra-muros et 14 % en région parisienne.

Pour 2022, Selectirente va poursuivre ses investissements dans des zones de chalandise fortement piétonisées, notamment dans les grandes métropoles régionales. Plusieurs opérations, d’un montant total atteignant 27,5 millions d’euros, ont été engagées depuis le début de l’exercice 2022…

Selectirente : dépassement des 500 millions d'euros d'actifs sous gestion en 2021